Infralliance publie son Vademecum de Souveraineté Numérique par les Infrastructures

Premier rendu d’Infralliance, le Think & Do Tank créé par Terralpha, Telehouse et France IX, le « Vademecum de Souveraineté Numérique par les Infrastructures » affirme le rôle de porte-voix des solutions d’infrastructures européennes souveraines et alternatives en offrant des grilles de lectures simples pour guider les DSI et CTO qui cherchent à protéger la donnée et ses flux de transports.

Lire le Vademecum Infralliance en fin de notre article.

DSI et CTO s’interrogent sur la sécurité et le transport de la donnée. Et sur les risques liés à certains domaines réglementaires internationaux. Mais ces interrogations portent généralement sur les couches hautes des systèmes d’information, les serveurs, le stockage, les logiciels, le cloud, etc.

Les fondateurs d’Infralliance s’interrogent quant à eux sur les couches basses, les infrastructures, les réseaux, les nœuds de communication, et jusqu’aux équipements. Ils interpellent sur les origines des infra et des couches de transport, sur le lieu où les données sont stockées, dont le datacenter, et au-delà de la donnée, sans sombrer dans le protectionnisme, sur la souveraineté de l’infrastructure numérique.

Avec cette première publication, qui précède une ouverture plus large du Think & Do Tank en association, Infralliance ouvre le débat de la compétitivité et de la résilience du transport de la donnée en apportant une expertise et une grille de lecture simple. A ce titre, nous avons apprécié tout particulièrement les typologies de problématiques (Problématiques / Attentes / Enjeux / Solutions) en cinq personas :

  • Un ministère
  • Une collectivité locale
  • Un opérateur d’importance vitale (OIV)
  • Un fournisseur d’infrastructure Cloud souverain
  • Une grande entreprise industrielle

Rappelons que le Think & Do Tank Infralliance s’est donné pour mission de contribuer, par l’angle de l’infrastructure et des réseaux, et au travers d’actions concrètes, à l’émergence et à la pérennité d’une troisième voie, vers les souverainetés numériques inclusives, pour une autonomie de destins des pays européens.

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