Le gouvernement britannique va instaurer à partir du 1er avril – malgré l’opposition du grand frère américain et les menaces de représailles contre les entreprises britanniques – une nouvelle taxe fiscale de 2% sur les services numériques.
Sont visés les revenus des moteurs de recherche, des services de médias sociaux et des marchés en ligne qui alimentent les utilisateurs britanniques. En particulier la taxe frappera Amazon, eBay, Facebook, Google, et Microsoft.